
On attendait avec impatience la nouvelle réalisation de Stéphane Brizé, auteur du génial Je ne suis pas là pour être aimé et de l'exercice Entre adultes. Comme dans ces précédents films, il nous livre une histoire d'une simplicité déconcertante mais d'une force psychologique immense.
En adaptant le roman d'Eric Holder (dont un autre roman L'homme de chevet vient d'être adapter), le réalisateur explore à nouveau les relations psychologiques proche de ses précédentes réalisations.
L'histoire est assez quelconque car l'enjeu du film se situe ailleurs; dans l'échange de regards, dans les silences, dans les gestes. L'ensemble est dépeint avec beaucoup de sensibilité dénotant la montée de leurs sentiments respectifs. Ce film parvient subtilement à transmettre ces sensations.
Le duo Vincent Lindon/Sandrine Kiberlain de nouveau réunis, interprète tout en retenu ce couple. Entre silence et non dits, la direction d'acteurs est d'une grande finesse. Aure Atika et Jean-Marc Thibault, moins présent, livrent aussi une très belle prestation.
Enfin, il y a quelques bémols à ajouter, notamment une musique excessivement dramatique ainsi que l'habitude de Vincent Lindon à jouer ce genre de rôle. Ces petits défauts sont vite oublier face à ce véritable chef d'œuvre intimiste.
En adaptant le roman d'Eric Holder (dont un autre roman L'homme de chevet vient d'être adapter), le réalisateur explore à nouveau les relations psychologiques proche de ses précédentes réalisations.
L'histoire est assez quelconque car l'enjeu du film se situe ailleurs; dans l'échange de regards, dans les silences, dans les gestes. L'ensemble est dépeint avec beaucoup de sensibilité dénotant la montée de leurs sentiments respectifs. Ce film parvient subtilement à transmettre ces sensations.
Le duo Vincent Lindon/Sandrine Kiberlain de nouveau réunis, interprète tout en retenu ce couple. Entre silence et non dits, la direction d'acteurs est d'une grande finesse. Aure Atika et Jean-Marc Thibault, moins présent, livrent aussi une très belle prestation.
Enfin, il y a quelques bémols à ajouter, notamment une musique excessivement dramatique ainsi que l'habitude de Vincent Lindon à jouer ce genre de rôle. Ces petits défauts sont vite oublier face à ce véritable chef d'œuvre intimiste.

En résumé : Un petit bijou mené par un maestro.
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