
On attendait avec impatience, après l'échec de Southland Tales, le nouveau film de Richard Kelly dont le film Donnie Darko a marqué une génération de fans de science fiction.
On retrouve cette ambiance de prémonition de la fin du monde, cependant on se perd dans les méandres d'un scénario brouillon mêlant trop de genres (thriller, science fiction, fable). Les ingrédients étaient réunis mais l'attirance de cette histoire est variable selon les séquences.
Contrairement à Donnie Darko, The Box subit de graves baisses de rythmes engendrant une perte d'intérêts au fur et à mesure. De plus, de nombreuses longues séquences n'apportent aucun élément passionnant supplémentaire à l'histoire.
Du côté de la réalisation, un énorme travail de reconstitution a été fait pour restituer l'époque, les décors, les costumes, l'ambiance et la couleur particulière des film des années 70.
Ensuite, à trop vouloir imposer ces réflexions philosophiques, Richard Kelly oublie son récit. On assiste à un melting-pot de séquences de genre différents somme tout agréable mais dont les liens entre elles sont confus.
Enfin malgré des séquences distillant une atmosphère inquiétante et le bon jeu des acteurs (Cameron Diaz et James Marsden), ce film s'enlise jusqu'à endormir son auditoire. Là où Donnie Darko laissait matière à réflexion, La fin The Box ne révèle rien d'intéressant.
On retrouve cette ambiance de prémonition de la fin du monde, cependant on se perd dans les méandres d'un scénario brouillon mêlant trop de genres (thriller, science fiction, fable). Les ingrédients étaient réunis mais l'attirance de cette histoire est variable selon les séquences.
Contrairement à Donnie Darko, The Box subit de graves baisses de rythmes engendrant une perte d'intérêts au fur et à mesure. De plus, de nombreuses longues séquences n'apportent aucun élément passionnant supplémentaire à l'histoire.
Du côté de la réalisation, un énorme travail de reconstitution a été fait pour restituer l'époque, les décors, les costumes, l'ambiance et la couleur particulière des film des années 70.
Ensuite, à trop vouloir imposer ces réflexions philosophiques, Richard Kelly oublie son récit. On assiste à un melting-pot de séquences de genre différents somme tout agréable mais dont les liens entre elles sont confus.
Enfin malgré des séquences distillant une atmosphère inquiétante et le bon jeu des acteurs (Cameron Diaz et James Marsden), ce film s'enlise jusqu'à endormir son auditoire. Là où Donnie Darko laissait matière à réflexion, La fin The Box ne révèle rien d'intéressant.

En résumé : Un sentiment très partagé entre réussite ou projet avorté.
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